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Antivirus seul : l’illusion de la sécurité – Ce que les entreprises doivent vraiment savoir en 2025

Beaucoup de professionnels pensent encore qu’un antivirus suffit à protéger leur système informatique. C’est faux !
Et c’est cette erreur qui coûte chaque jour des milliers d’euros à des entreprises, des collectivités et des associations en France.

Le monde a changé, les menaces aussi

En 2025, les cyberattaques ne sont plus des événements rares ni réservés aux grands groupes.

  • 1 entreprise française sur 2 a été visée par une cyberattaque en 2024 (source : CESIN / ANSSI).
  • Les TPE et PME représentent plus de 70 % des victimes, car elles sont perçues comme les plus vulnérables.
  • Les mairies, collectivités, associations cultuelles ou sociales sont particulièrement exposées du fait de leur exposition publique, de leur manque de moyens, ou d’un réseau de bénévoles mal formés.

Les conséquences ?

  • Vol ou fuite de données sensibles (clients, salariés, administrés…)
  • Cryptolockers / ransomware bloquant l’activité pendant des semaines
  • Usurpation d’identité numérique (email de mairie utilisé pour demander des virements)
  • Amendes RGPD et perte de confiance des partenaires

Un antivirus ne vous protègera pas de tout cela. Pire : il pourrait vous donner un faux sentiment de sécurité.

L’antivirus : utile, mais largement insuffisant

Un antivirus classique fonctionne selon une logique simple : il reconnaît un virus connu à l’avance grâce à une signature, puis il le bloque.

Mais les cybercriminels d’aujourd’hui :

  • Utilisent des malwares polymorphes (qui changent de forme pour tromper les antivirus)
  • Exploitent des failles humaines (phishing, pièces jointes, mots de passe faibles)
  • Lancent des attaques ciblées silencieuses, invisibles pour les protections traditionnelles

Imaginez : Avoir un antivirus, c’est comme installer une serrure sur la porte d’entrée.
Mais aujourd’hui, les cambrioleurs passent par les fenêtres, le toit, ou même par la cave.
Il faut voir, comprendre, détecter et réagir. Et cela, seul, un antivirus ne le permet pas.

De nouvelles couches de protection intelligentes : EDR, MDR, XDR…

Les sociétés de cybersécurité (comme la nôtre, SWALI) proposent désormais des protections modernes, pensées pour un monde connecté et vulnérable. Voici les principales à connaître :

EDR : Endpoint Detection & Response : Un EDR est un agent installé sur chaque poste, serveur ou terminal qui observe en temps réel les comportements suspects.

  • Il détecte des anomalies (ex : un processus inconnu qui chiffre tous vos fichiers…)
  • Il isole automatiquement la machine infectée
  • Il conserve des logs pour analyser l’attaque
  • Il réagit activement : ce n’est plus une sécurité passive.

En résumé : l’EDR, c’est l’alarme et le pompier en même temps.

XDR : eXtended Detection & Response : Le XDR va plus loin : il croise les informations de toutes les sources (ordinateurs, emails, pare-feu, cloud…).

  • Il voit les attaques coordonnées (par exemple : une connexion frauduleuse dans Outlook suivie d’une exfiltration de fichiers OneDrive)
  • Il corrèle les indices faibles entre eux
  • Il élargit le champ de détection : l’attaque ne vous prend plus par surprise

MDR : Managed Detection & Response : Un service clé en main où une équipe d’experts supervise votre sécurité 24h/24.

  • Vos postes sont équipés d’un EDR
  • Une cellule externe (SOC) analyse les alertes
  • Vous bénéficiez d’intervention humaine experte, même la nuit

En résumé : vous avez des vigiles cybersécurité qui veillent pour vous.

D’autres couches à connaître :

  • SIEM : centralisation intelligente des logs, pour les environnements plus complexes
  • MFA (authentification à deux facteurs) : une barrière simple mais redoutable
  • Zero Trust : on ne fait plus « confiance par défaut », chaque accès est contrôlé
  • Backups hors ligne : l’arme ultime contre les ransomwares, si elle est bien gérée

Cas concret : mieux vaut prévenir que guérir

Prenons un exemple réel : Une PME de 12 salariés, sans politique de sécurité poussée, a cliqué sur un faux email de mise à jour bancaire.
Résultat : tous les fichiers internes chiffrés, 15 jours d’arrêt, 80 000 € de pertes d’exploitation, sans parler de la réputation.

Le coût annuel d’un EDR avec supervision MDR pour cette même structure ?
=> Environ 2 400 € HT par an.
Même pas 3 jours de pertes d’activité.

La cybersécurité : un investissement, pas une dépense

Chaque euro investi dans la sécurité informatique préserve votre activité, votre image et votre conformité.

  • C’est un garde du corps numérique
  • C’est un filet de sécurité face à l’imprévu
  • C’est un argument de sérieux pour vos clients et partenaires

La vraie question n’est plus “combien ça coûte”, mais “combien ça vous coûte de ne rien faire”.

Ce que vous pouvez faire dès maintenant

  • Faites un état des lieux de votre cybersécurité actuelle
  • Formez vos collaborateurs aux risques courants (phishing, mots de passe, etc.)
  • Mettez en place un EDR avec surveillance automatisée
  • Activez l’authentification à double facteur
  • Préparez un plan d’urgence en cas d’attaque
  • Entourez-vous de professionnels qualifiés et labellisés

il est temps de changer de posture : La cybersécurité ne doit plus être un sujet “technique” laissé aux informaticiens.
C’est une décision stratégique de direction.

Un antivirus, c’était suffisant en 2010.
En 2025, ce n’est plus du tout adapté.

Et maintenant ? On en parle ?

Chez SWALI, nous accompagnons depuis 20 ans les TPE, les PME, les mairies et les associations du Vaucluse.
Nous sommes labellisés ExpertCyber par cybermalveillance.gouv.fr, et nous avons à cœur de vulgariser et simplifier la sécurité numérique pour qu’elle soit réellement adoptée.

Demandez votre audit cybersécurité gratuit
(durée 30 min) pour connaître votre niveau de maturité.

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Appelez-nous : 04 84 25 00 70

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Gestionnaire de mots de passe : l’arme secrète contre le piratage

Mots de passe : le talon d’Achille de la cybersécurité

Imaginez : vous arrivez au bureau un matin, vous ouvrez votre messagerie… et vous découvrez que votre compte a envoyé des centaines de mails frauduleux à vos clients. Le stress monte. Vous venez d’être victime d’une usurpation d’identité. Et tout ça à cause d’un mot de passe trop simple, ou réutilisé sur plusieurs sites.

On le sait : les mots de passe sont l’une des failles les plus exploitées par les cybercriminels. Pourtant, il existe une solution simple, efficace et redoutablement sûre : le gestionnaire de mots de passe.

Pourquoi un gestionnaire de mots de passe ?

Un gestionnaire de mots de passe, c’est un peu comme un coffre-fort digital. Il stocke, chiffre et gère tous vos mots de passe en un seul endroit, accessible via un mot de passe maître (et uniquement celui-là).

Les avantages sont multiples :

  • Sécurité renforcée : vous n’avez plus besoin de mémoriser 15 mots de passe complexes. Le gestionnaire les crée pour vous, et ils sont uniques pour chaque plateforme.
  • Gain de temps : connexion automatique aux sites, formulaires pré-remplis… fini les “Mot de passe oublié ?”
  • Centralisation : vos accès sont centralisés, mais toujours chiffrés et protégés.
  • Veille de sécurité : certains gestionnaires vous alertent si un mot de passe a été compromis.
  • Géré par SWALI

Bonus : synchronisation multi-appareils : Vous pouvez accéder à vos mots de passe depuis votre ordinateur, votre smartphone ou votre tablette. Pratique pour les collaborateurs en télétravail ou en déplacement.

Chiffres clés à connaître :

  • En 2024, 64% des PME françaises ont subi au moins une tentative de cyberattaque.
  • 23,2 millions de comptes en ligne utilisent encore « 123456 » comme mot de passe.
  • Le temps moyen nécessaire pour pirater un mot de passe de 8 caractères sans complexité est de 39 minutes. S’il contient 12 caractères avec diversité, ce temps grimpe à… 34 000 ans.

La complexité des mots de passe : un enjeu clé

Un bon mot de passe, c’est comme un bon cadenas : plus il est complexe, moins il est cassable. Voici quelques règles simples :

  • Longueur : au moins 12 caractères
  • Diversité : majuscules, minuscules, chiffres, caractères spéciaux
  • Unicité : un mot de passe différent par site ou plateforme

Cas concret : Prenons l’exemple de Paul, salarié dans une PME. Il utilise le même mot de passe « Paul123 » pour son mail, son outil de gestion client, et son compte Amazon. Si une seule de ces plateformes est piratée, toutes les autres deviennent vulnérables.

Avec un gestionnaire, Paul aurait eu des mots de passe comme : « dK!4vU9z*#nP », « x7$RqLm8tVw »… et ne les aurait même pas eu besoin de les mémoriser !

Usurpation d’identité et piratage : les risques réels

On parle souvent de piratage comme d’un truc de film. Mais en réalité, l’usurpation d’identité est une menace bien concrète :

  • Envoi de mails frauduleux à vos contacts
  • Accès à vos données sensibles (RH, finances, clients…)
  • Blocage de votre compte (voire rançon pour le récupérer)

Exemple : En 2023, une TPE artisanale a vu son compte fournisseur piraté. Les hackers ont envoyé une fausse facture à plusieurs clients, qui l’ont payée. Montant du préjudice : 17 000 euros. Le point d’entrée ? Un mot de passe trop simple.

Et ce n’est pas un cas isolé. Selon le rapport ANSSI 2024, 81% des violations de données sont liées à des identifiants compromis.

Une bonne pratique : un mot de passe par plateforme

C’est la règle d’or ! Si vous utilisez le même mot de passe pour plusieurs services, vous ouvrez grand la porte aux attaques en chaîne.

Astuce mémo-technique : « Un site = un mot de passe unique ». Le gestionnaire de mots de passe est justement là pour vous aider à appliquer cette bonne pratique sans vous arracher les cheveux.

Partage sécurisé des accès : Certains outils permettent aussi de partager un accès sans jamais révéler le mot de passe. Idéal pour les équipes projet ou les services RH.

SWALI s’occupe de tout

Chez SWALI, on ne vous laisse pas seuls face à ces enjeux.

Notre accompagnement comprend :

  • Installation du gestionnaire de mots de passe sur tous les postes
  • Configuration personnalisée en fonction des usages et profils utilisateurs
  • Formation du personnel à l’utilisation au quotidien : création de mots de passe forts, sauvegardes, accès partagés si nécessaire, etc.

Témoignage client : « Depuis que SWALI nous a équipés d’un gestionnaire de mots de passe, nos collaborateurs ont gagné en autonomie et en sérénité. On ne perd plus de temps à réinitialiser des accès. Et nos données sont mieux protégées. » — Julie, DAF dans une PME du BTP.

Bonus : Nous vous accompagnons également dans l’élaboration d’une politique interne de gestion des accès. Parce que la sécurité, ce n’est pas que de la tech, c’est aussi des habitudes à mettre en place.

En résumé : Un gestionnaire de mots de passe, c’est plus qu’un outil : c’est un bouclier numérique. Il vous permet de naviguer en toute sérénité, tout en éduquant vos équipes à la cybersécurité. Et avec l’accompagnement de SWALI, sa mise en place devient un jeu d’enfant.

Vous êtes dirigeant, DSI ou RH ?

Il est temps de passer à l’action. Lancez un diagnostic. Proposez un atelier sensibilisation. Installez un gestionnaire de mots de passe.

Qu’avez-vous déjà mis en place ? Quels freins rencontrez-vous ? Partagez vos retours en commentaires pour enrichir la communauté !

Prenez une longueur d’avance. Organisez un point avec un référent SWALI pour :
** Choisir des solutions alignées à vos besoins réels
** Évaluer vos postes à risque
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Guide d’hygiène informatique : tous alignés sur les mêmes priorités

Les plus grandes autorités françaises – CNIL, ANSSI, Bpifrance, Cybermalveillance.gouv.fr, CSIRT Urgence cyber région sud– convergent.

Les fondements de la cybersécurité reposent sur des gestes simples mais indispensables. Ensemble, elles structurent un cadre clair en 7 axes.

1. Des mots de passe solides et contrôlés

Utilisation de mots de passe uniques et complexes : Un mot de passe sécurisé doit comporter au minimum 16 caractères, mêlant lettres majuscules et minuscules, chiffres et caractères spéciaux. Il est essentiel d’utiliser un mot de passe différent pour chaque service utilisé (messagerie, logiciel comptable, banque en ligne…).

Utilisation d’un gestionnaire de mots de passe : Pour éviter d’avoir à retenir une dizaine de mots de passe complexes, il est recommandé d’utiliser un gestionnaire de mots de passe. Ce type de logiciel, simple à installer et à utiliser (disponible en application mobile et extension de navigateur), stocke et chiffre tous vos mots de passe, vous permettant de ne retenir qu’un seul mot de passe maître. SWALI propose une offre à 3€/mois/post avec une interface intuitive, même pour les non-techniciens.

Politique d’authentification renforcée : Mettre en place une politique d’authentification à deux facteurs (code reçu par SMS, email ou application dédiée) permet d’ajouter une couche de protection, même en cas de fuite du mot de passe.

Exemple : Une entreprise de 15 personnes décide de renforcer la sécurité de ses accès logiciels. Elle installe un gestionnaire de mots de passe pour tous les collaborateurs. Chaque salarié crée un mot de passe maître long et sécurisé. Lorsqu’il se connecte à son logiciel de paie ou CRM, le gestionnaire remplit automatiquement un mot de passe complexe stocké dans son coffre-fort numérique. Tous les six mois, une alerte rappelle de modifier le mot de passe maître. Si l’un d’eux oublie son accès, une procédure de récupération sécurisée est prévue.

Pourquoi c’est critique ? Les mots de passe faibles sont souvent la première faille exploitée dans une cyberattaque : 81 % des violations de données sont liées à des identifiants compromis.

2. Mises à jour automatiques des systèmes

Installation immédiate des patchs : Un « patch » est une correction logicielle fournie par un éditeur ou un fabricant afin de résoudre une faille de sécurité, un bug ou une faiblesse de performance. Cela peut concerner les systèmes d’exploitation (Windows, macOS, Linux), les logiciels tiers (navigateur, suite bureautique, outils métiers) ou encore le firmware (logiciel embarqué dans le matériel comme les routeurs ou imprimantes). Appliquer un patch rapidement permet de fermer une brèche avant qu’elle ne soit exploitée par un cybercriminel.

Exemple : un PC laissé un mois sans patch a 90 % de chance d’être vulnérable.

Mise en pratique : Des failles apparaissent tous les jours et donc les entreprises sortent des patchs régulièrement pour corriger le système en éditant un patch.

Astuce : Activez les alertes de vulnérabilités (CERT-FR, ZDI) pour rester informé.

3. Sauvegardes régulières et vérifiées

Supports variés : Pour garantir la résilience de vos données, il est recommandé de sauvegarder sur plusieurs supports. Cela peut inclure un disque dur externe (facile à utiliser et à stocker hors ligne), un NAS (serveur de stockage en réseau) pour une centralisation locale, et un service de cloud sécurisé pour une copie à distance.

Fréquence recommandée : Les données critiques doivent être sauvegardées quotidiennement, tandis que les données moins sensibles peuvent l’être de manière hebdomadaire. Les données doivent donc être chiffrées automatiquement.

Vérification des sauvegardes : Il ne suffit pas de sauvegarder, encore faut-il tester régulièrement la capacité à restaurer les données. Un test mensuel de restauration partielle ou totale permet de s’assurer que les sauvegardes sont réellement exploitables.

Rappel : une sauvegarde qui n’est jamais testée est inutile. Les ransomwares chiffrent aussi les disques connectés. Il est donc important de disposer de copies hors ligne ou immuables qui ne sont jamais testée est inutile. Les ransomwares chiffrent aussi les disques connectés.

4. Protection antivirus & pare-feu, sécurité du réseau

Outils recommandés : Un bon antivirus protège contre les malwares, ransomwares et chevaux de Troie. Le pare-feu, quant à lui, contrôle les entrées et sorties réseau pour bloquer les connexions non autorisées. Il est recommandé d’utiliser des solutions professionnelles capables de se mettre à jour automatiquement.

Filtrage web : Cette fonctionnalité permet de bloquer l’accès à des sites malveillants ou inappropriés. Elle peut être intégrée à l’antivirus ou gérée via un firewall professionnel.

Sécurisation du Wi-Fi : Le Wi-Fi doit être protégé par un mot de passe complexe et ne jamais rester en configuration par défaut. Il est aussi conseillé de créer un réseau invité séparé du réseau principal pour les visiteurs.

Exemple : Une agence immobilière équipe ses ordinateurs d’un antivirus payant avec console de supervision. Elle installe un firewall physique qui bloque les connexions sortantes suspectes, et crée deux réseaux Wi-Fi distincts : un pour les salariés et un isolé pour les clients de passage.

Petit plus : Intégrez une surveillance active avec alertes en cas de comportement anormal (via un outil de type SIEM), ou faites appel à un prestataire comme SWALI pour une supervision en continu active avec alertes (SIEM, firewall intelligent).

5. Sensibilisation & formation des équipes

Contenus recommandés : Les formations doivent couvrir les menaces courantes comme le phishing (emails frauduleux), les risques liés à l’utilisation de clés USB inconnues, la navigation web sécurisée, et la gestion des mots de passe.

Formats accessibles : Les formats doivent être adaptés aux profils des collaborateurs : vidéos courtes, sessions en visio de 30 minutes, quiz interactifs, affiches de rappel dans les bureaux, newsletters sécurité.

Fréquence : La cybersécurité n’est pas un acquis. Il faut en parler régulièrement. Une action tous les mois (quiz, actu, rappel) permet de maintenir un bon niveau d’alerte.

Exemple : Une entreprise industrielle organise chaque mois une mini-session de sensibilisation animée par SWALI. Chaque session dure 15 minutes et traite d’un thème précis (ex : comment repérer un mail frauduleux ?). En fin de trimestre, un quiz collectif permet d’évaluer la vigilance de l’équipe. Résultat : les employés se sentent plus impliqués, et les incidents ont chuté de 60 %.

Pourquoi c’est efficace ? Une étude montre que la formation diminue de 70 % les clics sur liens malveillants. L’humain reste le premier rempart contre la cybermenace.

6. Gouvernance & analyse de risques

Désignation d’un pilote : Le RSSI (Responsable de la Sécurité des Systèmes d’Information) ou référent cybersécurité est la personne chargée de piloter les actions de sécurité au sein de l’organisation. Il identifie les risques, supervise les mesures de protection, forme les équipes et agit en cas d’incident. Pour les petites structures, cela peut être un collaborateur sensibilisé ou un prestataire externe. Ce prestataire peut être une entreprise spécialisée comme SWALI, qui accompagne les organisations dans la mise en place, le suivi et l’amélioration continue de leur posture de cybersécurité.

Plan de gestion des incidents : détection, réaction, communication.

Audit régulier : une fois par an minimum.

Exemple : une PME fait appel à SWALI comme référent cybersécurité externe, met à jour une checklist trimestrielle avec son accompagnement, et souscrit au pack cyber Bpifrance pour renforcer sa protection numérique.

7. Sécurité mobile & usage nomade

Les usages mobiles explosent : smartphones professionnels, ordinateurs portables, tablettes… Ils sont devenus indispensables mais aussi des cibles privilégiées.

  • Quelques règles : Elles incluent la mise à jour systématique de tous les terminaux mobiles, l’activation du chiffrement de l’appareil (pour protéger les données même en cas de vol), le verrouillage de l’écran avec un code fort ou biométrique, et l’utilisation systématique de VPN sur les connexions Wi-Fi publiques ou non sécurisées.
  • Matériel adapté : Il est crucial d’utiliser des équipements professionnels capables de supporter le chiffrement, avec une gestion centralisée via une solution MDM (Mobile Device Management). Cette solution permet à l’entreprise de gérer à distance les équipements, d’installer les mises à jour, de restreindre les applications, voire d’effacer les données en cas de perte ou de vol.
  • Exemple : Un réseau de techniciens itinérants dans une PME utilise des smartphones professionnels chiffrés avec un système MDM géré par SWALI. Chaque appareil est configuré pour utiliser un VPN avec authentification à deux facteurs et les données sont automatiquement effacées en cas de tentative de connexion frauduleuse.

Cette approche permet d’assurer la continuité d’activité tout en maîtrisant les risques associés aux déplacements et aux connexions mobiles.

Swali 5 piliers de la cyber sécurité. Actualité informatique et sécurité informatique

Pour vérifier votre niveau : audit express

  1. Mots de passe solides ?
  2. MAJ automatisées ?
  3. Backups testés ?
  4. Wi-Fi et antivirus sécurisés ?
  5. Sensibilisation régulière ?

Si 3/5 validées : bon socle. Sinon, à prioriser d’urgence ! Contactez SWALI !

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Pourquoi les 5 piliers ? Une méthode simple pour protéger votre activité

La fin d’une ère, et le début de nouvelles menaces

La cybersécurité n’est plus un luxe, c’est une obligation légale. Depuis l’entrée en vigueur du RGPD en 2018, chaque entreprise, collectivité ou association manipulant des données personnelles a le devoir de sécuriser ses systèmes. Mais comment traduire ces impératifs réglementaires en actions concrètes, accessibles à tous, quels que soient le secteur ou la taille de l’organisation ?

Swali Expert cyber et Spécialiste informatique et téléphonie présente sa solution des 5 piliers de la Cyber sécurité

C’est tout l’enjeu des 5 piliers de la cybersécurité, une méthode complète et opérationnelle pour protéger les données, prévenir les incidents et se conformer à la loi. Entrons dans le vif du sujet, à travers un scénario concret, pour mieux comprendre leur rôle… et leur nécessité.

Les obligations du RGPD en matière de sécurité : un rappel indispensable

Selon la CNIL, la sécurité des données personnelles est une obligation de longue date, renforcée par le RGPD. Elle se décline notamment en :

  • La mise en place de mesures techniques et organisationnelles de sécurité (article 32 du RGPD),
  • La documentation des violations de données,
  • La notification des incidents à la CNIL (sous 72 h en cas de risque),
  • L’information des personnes concernées, si le risque est jugé élevé.

En cas de manquement, les sanctions peuvent atteindre 20 millions d’euros ou 4 % du chiffre d’affaires mondial. En 2022, un tiers des sanctions prononcées par la CNIL concernaient… un défaut de sécurité.

Scénario : Une PME du BTP confrontée à une attaque :

Imaginez une PME spécialisée en travaux publics. Un jour, son dirigeant reçoit un mail semblant venir de son expert-comptable. Il clique sur la pièce jointe. En quelques secondes, ses fichiers sont chiffrés. Un message s’affiche : « Vos données ont été prises en otage. Payez sous 48h

Cette attaque par rançongiciel (ransomware) aurait pu être évitée. Voici comment les 5 piliers apportent des réponses concrètes, dans le respect des obligations RGPD.

1. Une messagerie professionnelle sécurisée

Objectif RGPD : Prévenir la divulgation non autorisée de données.

Exemple dans le scénario : L’email malveillant n’aurait jamais atteint l’utilisateur si une solution de messagerie filtrant les pièces jointes suspectes avait été en place.

Concrètement :

  • Authentification renforcée,
  • Chiffrement des communications,
  • Protection contre le phishing.

Tous les métiers sont concernés : Une infirmière libérale qui échange par mail avec ses patients, une TPE du bâtiment qui envoie des devis, un avocat qui traite des dossiers sensibles.

🔗En savoir plus sur la messagerie sécurisée.

2. Le Pack de sécurité OSI
(Outils de Sécurité Intégrés)

Objectif RGPD : Mettre en place des mesures techniques pour prévenir les intrusions.

Exemple : Le logiciel malveillant s’est propagé dans l’ensemble du réseau. Avec un pack OSI bien configuré, le programme aurait été bloqué dès l’exécution.

Composants typiques :

  • Antivirus à jour et comportemental,
  • Blocage des connexions non autorisées,
  • Supervision des activités anormales.

Un artisan ou une mairie sont tout autant exposés qu’un cabinet de conseil.

🔗Découvrir le Pack OSI

3. La sauvegarde SEDRE (Sauvegarde Externalisée des Données Relatives à l’Entreprise)

Objectif RGPD : Garantir l’intégrité et la disponibilité des données.

Dans notre scénario : L’entreprise aurait pu restaurer ses fichiers sans payer la rançon… si une sauvegarde externalisée et chiffrée avait été prévue.

Ce que prévoit SEDRE :

  • Sauvegarde automatisée, hors site,
  • Chiffrement des données stockées,
  • Test de restauration régulier et d’immuabilité

Secteurs concernés : Un cabinet médical, une association de quartier, un bureau d’études… tous doivent être capables de récupérer leurs données en cas d’incident.

🔗 Lire plus sur la sauvegarde SEDRE

4. Le pare-feu SBS
(SecurityBox Swali)

Objectif RGPD : Limiter l’accès non autorisé aux données.

Sans ce dispositif : Le rançongiciel aurait pu circuler librement sur le réseau interne de l’entreprise.

Fonctionnalités du pare-feu SBS :

  • Filtrage des connexions,
  • Détection des comportements anormaux,
  • Protection contre les attaques réseau.

🔗 Découvrir le pare-feu SBS

5. L’assistance et contrat de maintenance

Objectif RGPD : S’assurer de la continuité des mesures de sécurité.

Dans notre exemple : Si un contrat de maintenance avait été actif, l’équipe informatique serait intervenue rapidement pour contenir l’attaque, limiter les dégâts et notifier la CNIL dans les délais.

Ce que comprend ce pilier :

  • Support technique réactif,
  • Mise à jour des systèmes,
  • Conseil pour la conformité RGPD.

Pour tous les professionnels : Un restaurateur, un kiné ou un exploitant agricole — chacun peut bénéficier d’un accompagnement régulier et personnalisé.

🔗 Voir les services d’assistance

Les 5 piliers : une réponse complète, simple et conforme

Les 5 piliers ne sont pas de simples gadgets technologiques. Ils forment une stratégie cohérente, pédagogique et directement reliée aux obligations légales, particulièrement le RGPD. Ils permettent à chaque entreprise, quel que soit son domaine, de :

  • Se protéger contre les menaces numériques croissantes,
  • Réagir efficacement en cas d’incident,
  • Prouver sa conformité en cas de contrôle à l’ACNIL.
Swali 5 piliers de la cyber sécurité. Actualité informatique et sécurité informatique

Conclusion : votre cybersécurité, votre responsabilité

L’ANSSI, le CSIRT Urgence Cyber Région Sud tout comme la CNIL le rappellent : la cybersécurité est l’affaire de tous. Que vous soyez médecin, artisan, élu local ou entrepreneur, vous gérez des données sensibles. Et vous êtes donc légalement responsable de leur sécurité.

Avec les 5 piliers, vous disposez d’une méthode simple, accessible et éprouvée pour transformer cette responsabilité en force. Ne subissez pas la cybersécurité, mettez-la en pratique — pour vous conformer à la loi… et surtout protéger ce qui compte vraiment : vos données, vos clients et votre activité.

Et maintenant, que faire ?

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240 millions de PC menacés : Windows 10 tire sa révérence

La fin d’une ère, et le début de nouvelles menaces

Le 14 octobre 2025, Microsoft mettra fin au support de Windows 10. Une date qui peut sembler lointaine… jusqu’à ce qu’elle ne le soit plus. Aujourd’hui encore, plus de 60 % des machines tournent sous Windows 10 à travers le monde. C’est énorme. Pourtant, ce système d’exploitation va devenir, du jour au lendemain, un terrain vulnérable aux cyberattaques.

Alors, pourquoi est-ce si important ? Quels sont les risques ?
Et surtout, comment s’y préparer intelligemment ?

Ce que la fin du support signifie concrètement.

À partir du 14 octobre 2025, Microsoft ne fournira plus :

  • De mises à jour de sécurité : une faille découverte ne sera plus corrigée. Résultat ? Vos postes deviennent des cibles faciles pour les ransomwares, les malwares et toutes sortes d’attaques automatisées.
  • De support technique : impossible de faire appel à Microsoft en cas de bug ou de panne critique.
  • De mises à jour logicielles majeures : certaines applications, comme Microsoft 365, perdront leur compatibilité à moyen terme.

En bref : continuer à utiliser Windows 10, c’est rouler sans assurance sur l’autoroute numérique.

Des conséquences lourdes pour les entreprises :

1. Explosion des risques cyber
On le sait : les systèmes obsolètes sont la porte d’entrée préférée des hackers. Sans correctifs de sécurité, une faille peut mettre en péril l’intégralité de votre infrastructure : données clients volées, arrêt de production, chantage numérique…

2. Freins à la productivité
Des logiciels incompatibles, des lenteurs croissantes, des pannes… Ce n’est pas seulement un problème technique, c’est un frein au bon fonctionnement de vos équipes.

3. Un impact écologique sous-estimé
Si chaque poste incompatible avec Windows 11 est remplacé, ce sont jusqu’à 240 millions de PC qui pourraient finir à la décharge. Cela représenterait plus de 480 000 tonnes de déchets électroniques. Un enjeu environnemental majeur.

Dois-je changer d’ordinateur ?

Pas forcément ! Certains postes peuvent très bien passer à Windows 11. Pour le savoir, il suffit d’effectuer un audit de compatibilité. Microsoft met à disposition l’outil « Contrôle d’intégrité du PC » pour faire ce check :

  1. Télécharger l’outil sur le site officiel
  2. Lancer l’analyse
  3. Obtenir un diagnostic immédiat (et très visuel)

Attention toutefois : cet outil ne fournit pas toujours un niveau de détail suffisant pour des parcs informatiques complexes. C’est là que SWALI entre en scène

SWALI : votre copilote pour la transition

Chez SWALI, on ne se contente pas de faire de la veille technologique. On vous accompagne concrètement, de l’analyse initiale à la mise en œuvre, en passant par le conseil stratégique.

1. Audit de votre parc informatique
On identifie en un clin d’œil les machines concernées, leur système d’exploitation, leur niveau de sécurité et leur compatibilité avec Windows 11.

2.Vérification approfondie de compatibilité
Notre équipe technique va plus loin que les outils Microsoft. Nous analysons les critères de compatibilité (TPM, CPU, RAM, BIOS…) et les mettons en lien avec vos usages réels.

3. Recommandations personnalisées

  • Matériel compatible ? On vous aide à planifier une migration fluide vers Windows 11, sans stress.
  • Matériel obsolète ? On vous conseille sur les meilleures alternatives à l’achat ou en location, avec un budget maîtrisé et un déploiement rapide.

4. Gestion complète de la migration
Planification, transfert des données, installation, formation des utilisateurs, sécurisation post-migration : SWALI gère tout de A à Z pour garantir la continuité de votre activité.

Pourquoi il ne faut pas attendre le dernier moment

Parce que les cybermenaces n’attendent pas. Et parce que le passage à Windows 11 peut prendre plusieurs mois selon la taille de votre parc. Mieux vaut prévoir maintenant que réparer dans l’urgence plus tard.

Plus on anticipe, meilleurs sont les prix ! En anticipant, vous évitez d’acheter vos nouveaux PC au moment où tout le monde en cherche… et où les prix grimpent en flèche.

Et maintenant, que faire ?

Prenez une longueur d’avance. Organisez un point avec un référent SWALI pour :
** Choisir des solutions alignées à vos besoins réels
** Évaluer vos postes à risque
** Planifier une transition sereine

Écrivez-nous : commercial@swali.fr
Appelez-nous : 04 84 25 00 70

Alors, prêt à faire de ce changement une réussite stratégique ?

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Collectivités locales : êtes-vous prêtes à faire face à une cyberattaque ?

Les collectivités locales françaises, en particulier les petites communes, sont confrontées à des défis croissants en matière de cybersécurité. Les statistiques récentes révèlent des lacunes préoccupantes : budgets limités, préparation insuffisante et vulnérabilité accrue aux cyberattaques.

Cependant, avec des solutions adaptées, il est possible d’inverser cette tendance. C’est ici qu’intervient SWALI, votre partenaire expert en cybersécurité, prêt à accompagner les collectivités vers une protection renforcée.

Un diagnostic alarmant

Les petites et moyennes collectivités, représentant une part significative du paysage territorial français, fonctionnent souvent avec des ressources limitées. Selon le baromètre 2024 de Cybermalveillance.gouv.fr, 73 % de ces collectivités disposent d’un budget informatique annuel inférieur à 5 000 euros, et 66 % n’envisagent pas d’augmentation pour l’année à venir, même face à une exposition accrue aux risques.

De plus, 77 % des élus et agents indiquent consacrer moins de 2 000 euros à la cybersécurité. Ces contraintes budgétaires se traduisent par une préparation insuffisante : seulement 14 % des collectivités se sentent bien préparées en cas d’attaque, et parmi elles, 78 % ne disposent pas ou ne savent pas si elles disposent d’une procédure de réaction en cas d’attaque.

Les principaux obstacles

Les collectivités identifient plusieurs freins majeurs à l’amélioration de leur cybersécurité :

  • Manque de connaissances : 47 % des répondants soulignent une méconnaissance des enjeux liés à la cybersécurité
  • Contraintes budgétaires : 36 % des collectivités estiment que le manque de budget est un obstacle significatif.
  • Pénurie de personnel spécialisé : également mentionnée par 36 % des répondants, cette pénurie complique la mise en place de mesures de protection efficaces.

De plus, 70 % des collectivités externalisent la gestion de leur informatique, souvent sans garantie que les prestataires disposent de certifications en cybersécurité.

SWALI : des solutions sur mesure pour sécuriser vos collectivités

Chez SWALI, nous comprenons les défis uniques auxquels sont confrontées les collectivités locales. C’est pourquoi nous proposons des solutions accessibles et adaptées à vos besoins spécifiques :

Audits et diagnostics ciblés

Il est essentiel de comprendre vos vulnérabilités pour agir efficacement. Nos experts réalisent des audits approfondis de vos systèmes d’information, identifiant les failles potentielles et proposant des recommandations concrètes pour renforcer votre sécurité.

Outils de sécurisation

  • Pare-feu : pour filtrer le trafic entrant et sortant de votre réseau, empêchant les accès non autorisés.
  • Antivirus : solutions avancées pour détecter et éliminer les logiciels malveillants.
  • Solutions de double authentification : ajoutant une couche supplémentaire de sécurité lors des connexions à vos systèmes.
  • Messagerie sécurisée : pour garantir la confidentialité des échanges entre élus, agents et partenaires, et éviter les tentatives de hameçonnage ou d’usurpation.

Ces outils sont adaptés aux collectivités de toutes tailles, garantissant une protection optimale sans compromettre votre budget. Formation et sensibilisation.

Formation et sensibilisation

La sensibilisation des élus et des agents est cruciale pour une cybersécurité efficace. En 2024, 73 % des élus ont été sensibilisés aux enjeux cyber. Notre objectif est d’atteindre 100 %, en proposant des formations pratiques et compréhensibles, adaptées aux réalités des collectivités locales.

Accompagnement sur mesure

Que vous ayez besoin d’élaborer un plan de reprise d’activité (PRA) ou simplement de conseils ponctuels, SWALI est à vos côtés. Nous vous accompagnons pas à pas dans la mise en place de stratégies de cybersécurité adaptées à vos contraintes et objectifs.

Un enjeu collectif pour les collectivités

La cybersécurité ne se limite pas à la technologie ; elle englobe également la stratégie et la collaboration. Chez SWALI, nous croyons fermement que la cybersécurité est l’affaire de tous : élus, agents, prestataires et partenaires locaux. En travaillant ensemble, nous pouvons créer un environnement numérique plus sûr pour tous.

Pourquoi choisir SWALI ?

  • Expertise technique et humaine : Notre équipe combine des compétences techniques pointues avec une approche humaine, centrée sur vos besoins.
  • Solutions pragmatiques : Nous proposons des solutions réalistes, tenant compte de vos contraintes budgétaires et opérationnelles.
  • Accompagnement personnalisé : Nous vous guidons à chaque étape, de l’évaluation des risques à la mise en œuvre des solutions, en passant par la formation de vos équipes.
  • Expert Cyber : label de l’Etat sur la plateform cybermalveillance.gouv.fr en partenariat avec l’ANSSI et l’AFNOR Certification – SWALI est aussi Partenaire CSIRT sur la région Sud.

Agissons ensemble

La sécurité informatique ne peut plus attendre. Chaque incident évité, chaque donnée protégée, chaque service public préservé est une victoire pour votre collectivité. Faites confiance à SWALI pour devenir acteur de votre cybersécurité.

Contactez-nous pour un diagnostic personnalisé et des solutions sur mesure.

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Les 6 erreurs les plus courantes dans l’utilisation des emails en entreprise (et comment les éviter !)

L’email est sans conteste l’un des outils de communication les plus utilisés en entreprise. Chaque jour, des millions de messages sont échangés entre collaborateurs, clients et partenaires. Pourtant, cet outil essentiel est souvent mal maîtrisé, ce qui entraîne des erreurs aux conséquences parfois graves.

Des pratiques inadaptées peuvent exposer l’entreprise à des risques majeurs : fuites de données, cyberattaques, perte d’informations stratégiques, voire atteinte à la réputation de l’entreprise. Pour vous aider à renforcer la sécurité et l’efficacité de votre communication électronique, voici les six erreurs les plus fréquentes et comment les éviter.

Erreur 1 : Envoyer des emails sensibles sans chiffrement

📊 Statistique :

45% des employés envoient des fichiers sensibles sans aucune protection.

⚠️ Conséquence :

Un pirate informatique qui intercepte ces emails peut accéder à des données confidentielles et les exploiter à des fins malveillantes. Par exemple, un devis stratégique envoyé en clair peut être récupéré par un concurrent.

✅ Solution :

  • Utiliser le chiffrement des emails.
  • Adopter des solutions professionnelles sécurisées de partage de fichiers avec protection par mot de passe.
  • Former (Sensibilisation) les employés aux bonnes pratiques de sécurité des emails.

Exemple : Une entreprise du secteur juridique a subi une fuite de documents confidentiels envoyés « en clair » (sans cryptage et sans code d’accès) à un partenaire. Un hacker a intercepté ces échanges et a tenté un chantage. L’entreprise a dû engager des dépenses importantes pour renforcer sa cybersécurité et restaurer sa réputation.

Erreur 2 : Utiliser des mots de passe faibles ou réutilisés

📊 Statistique :

80% des violations de données sont causées par des mots de passe faibles ou réutilisés.

⚠️ Conséquence :

Si un seul compte est compromis, l’ensemble du réseau peut être exposé. Un attaquant peut alors se déplacer latéralement dans l’entreprise et exfiltrer des données sensibles.

✅ Solution :

Exemple : En 2021, une PME de l’industrie pharmaceutique a été victime d’un ransomware après qu’un employé a utilisé le même mot de passe pour plusieurs services en ligne. Un hacker a compromis l’un de ces services et s’est introduit dans le réseau de l’entreprise, entraînant une paralysie de plusieurs jours.

Erreur 3 : Utiliser l’email professionnel à des fins personnelles

📊 Statistique :

60% des employés s’inscrivent à des services tiers avec leur adresse email professionnelle.

⚠️ Conséquence :

  • Risque de phishing accru (un service compromis peut exposer l’adresse email à des cybercriminels).
  • Augmentation du spam et des risques d’usurpation d’identité.
  • Difficulté pour l’entreprise de sécuriser ces usages non maîtrisés.

✅ Solution :

  • Interdire l’utilisation de l’email pro pour des usages personnels.
  • Sensibiliser les employés aux dangers des fuites de données.
  • Mettre en place des solutions de protection contre le phishing.

Exemple : Une entreprise du secteur bancaire a constaté une augmentation des tentatives de phishing ciblant ses employés après que plusieurs d’entre eux se sont inscrits sur des sites de loisirs avec leur adresse professionnelle.

Erreur 4 : Oublier de désactiver les accès des anciens employés

📊 Statistique :

35% des entreprises laissent des comptes email actifs après un départ.

⚠️ Conséquence :

Un ancien employé peut toujours accéder aux emails internes et aux informations stratégiques de l’entreprise. En cas de rancune, il pourrait même transmettre des données sensibles à des concurrents.

✅ Solution :

  • Mettre en place un protocole strict de suppression des accès immédiatement après un départ.
  • Réaliser des audits réguliers des comptes utilisateurs.
  • Utiliser un gestionnaire d’identité et d’accès pour une gestion centralisée.

Exemple : Un ex-employé mécontent a utilisé son ancien compte email pour transférer des fichiers stratégiques à un concurrent avant que l’entreprise ne réalise qu’il avait toujours accès à sa boîte mail.

Erreur 5 : Ne pas vérifier le destinataire avant d’envoyer un email

📊 Statistique :

58% des employés envoient accidentellement des emails à la mauvaise personne.

⚠️ Conséquence :

  • Risque de fuite d’informations sensibles.
  • Perte de crédibilité et potentielle violation de la confidentialité.

✅ Solution :

  • Activer une confirmation d’envoi pour les emails sensibles.
  • Configurer des alertes automatiques lorsque des pièces jointes sensibles sont détectées.
  • Former les employés à vérifier systématiquement les destinataires.

Exemple : Un avocat a accidentellement envoyé des documents confidentiels à un client au lieu de son collègue. Cette erreur a mis en péril la confidentialité de l’affaire et a exigé une intervention juridique.

Erreur 6 : Partager des identifiants par email

📊 Statistique :

70% des employés stockent ou partagent des mots de passe via email.

⚠️ Conséquence :

Une boîte mail compromise donne accès à tous les services liés, ce qui facilite une attaque en cascade sur plusieurs outils de l’entreprise.

✅ Solution :

  • Interdire formellement l’échange d’identifiants par email.
  • Utiliser un gestionnaire de mots de passe pour un partage sécurisé.
  • Adopter des solutions d’authentification centralisée (SSO).

Exemple : Une startup a subi une fuite massive de données après qu’un employé a envoyé un fichier contenant les accès à plusieurs outils internes par email. Un hacker a intercepté ce message et pris le contrôle des services.

Conclusion

L’email est un outil puissant et indispensable en entreprise, mais il représente également une faille de sécurité majeure s’il est mal utilisé. Adopter de bonnes pratiques et utiliser les outils adaptés permet de réduire considérablement les risques.

Besoin d’un audit de sécurité sur vos emails ? Contactez nos experts dès aujourd’hui !

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LE SYSTÈME DE STOCKAGE DANS LE CLOUD EXPLIQUÉ PAR SWALI

Le Cloud Computing, ou Cloud, est un système qui met à profit des utilisateurs la puissance des serveurs informatiques au travers d’un réseau. Bien qu’il propose des services tels que le SaaS (applications métier), PaaS (logiciel de l’entreprise virtualisé), IaaS (parc informatique virtualisé), le système de stockage reste, aux yeux de tous, le service le plus populaire de cette technologie.

Avec l’explosion d’Internet, le stockage des données est accessible à l’utilisateur à travers une connexion 4G et un smartphone par exemple. Avant l’arrivée du Cloud, l’utilisateur conservait ses données localement dans son ordinateur, un disque dur, une clé USB ou même un CD.

COMMENT FONCTIONNE LE STOCKAGE DANS LE CLOUD ?

Le système de stockage Cloud agit de la même façon qu’un ordinateur qui archiverait un document de traitement de texte par exemple. En revanche, à la place d’un simple ordinateur, le Cloud emploie un puissant serveur où sont archivées, de façon sécurisée, toutes les données de l’utilisateur.

Pour avoir accès à un Cloud, il faudra payer un abonnement mensuel pour les ressources utilisées ou pour le service à la « demande ». C’est-à-dire, lorsque l’abonné « demande » l’accès à ses données il utilise également de la mémoire, de l’espace de stockage et d’autres ressources techniques propres au Cloud.

QUEL EST L’INTÉRÊT DE STOCKER DANS LE CLOUD ?

D’une part, désencombrer l’utilisateur des dispositifs de stockage lors de ses déplacements. D’autre part, préserver les données en cas de dysfonctionnement du matériel.

Grâce à l’accessibilité du Cloud, le temps où il fallait emporter avec soi un disque dur externe et plusieurs clés USB en plus de l’ordinateur est désormais révolu.

L’avantage de ce système de stockage est l’utilisation de son système multiplateforme (smartphone, tablette, ordinateur portable, poste fixe) et la haute disponibilité des données (24h/24 et 7j/7).

PEUT-ON STOCKER UNIQUEMENT DES DONNÉES DANS LE CLOUD ?

Dans le cadre du stockage, le Cloud peut contenir des archives de traitement de texte, des images, des films, de la musique et toute autre donnée numérique. Cependant, ce système peut aller au-delà du simple stockage des données.

En effet, le Cloud peut également stocker des machines virtuelles avec toutes les données, mais aussi des applications métier. De cette façon, si une panne informatique ou un sinistre de grande envergure venait endommager les locaux d’une entreprise, les données et les applications métier seraient préservées et accessibles quel que soit l’endroit.

QUELS SONT LES INCONVÉNIENTS DU STOCKAGE DANS LE CLOUD ?

Le premier des inconvénients de ce système est l’accès à Internet, indispensable pour se connecter au Cloud. Si l’utilisateur se trouvait dans une zone blanche (zone où le réseau Internet et mobile sont très restreints), il ne pourrait pas accéder à ses données. Le deuxième inconvénient pourrait être la mauvaise gestion de la sécurité.

En effet, il existe un risque de piratage et d’interception des données stockées dans un Cloud. C’est pourquoi, comme tout système d’information, une surveillance adaptée et sur mesure doit être apportée aux infrastructures composant le Cloud. De cette façon, les risques de vol d’information ou de piratage seront réduits.

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Mars 2018: Microsoft ouvre quatre Datacenters en France

Microsoft s’implante en France. Le groupe informatique américain a annoncé l’ouverture de quatre datacenters en France. Trois se situent en région parisienne et l’un près de Marseille. Dès aujourd’hui, les clients de Microsoft, utilisant la plateforme Azure ou la suite bureautique en ligne Office 365, peuvent choisir de stocker leurs données en France.

Dans le cas d’Azure, utilisé pour les infrastructures, tout nouveau contrat d’une entreprise dont le siège social est en France sera automatiquement hébergé dans ces nouveaux centres.  Les clients plus anciens se verront proposer un programme de rapatriement des données, s’ils le souhaitent.

Dans le cas d’Office 365 , cette relocalisation est en revanche automatique, pour la majorité de ses services.

Les entreprises françaises enfin rassurées!

En France, les entreprises ne sont pas obligées de stocker les données de leurs utilisateurs localement. En Europe, les géants du Web ont néanmoins été poussés à accélérer leurs investissements dans des centres de données locaux après validation du Safe Harbor, un accord qui régissait le transfert de données personnelles entre l’Europe et les États-Unis, en 2016.

Ce dernier a depuis été remplacé par le «Privacy Shield». D’autres affaires, notamment les révélations d’Edward Snowden sur la surveillance de la NSA, ont aggravé la méfiance du public face au stockage des données par les grandes entreprises américaines du Web. Les clients européens de cloud sont donc de plus en plus demandeurs de stockage local.

Le groupe précise par ailleurs que toutes ses nouvelles offres sont conformes avec le RGPD, le nouveau règlement européen sur les données, qui doit entrer en vigueur cette année en mai 2018.